Η ΤΕΧΝΗ ΜΟΥ ΝΑ ΕΙΜΑΙ ΕΓΩ

Mon art d'être moi-même

RÉSUMÉ

Un voyage intérieur de 17.653 kilomètres à travers vingt-trois musées d'Europe à la recherche de l'amour, là où beaucoup pensent qu'il n'a pas sa place. Mais la clé pour reconnaître que l'amour est partout est de le trouver d'abord à l'intérieur de nous-mêmes.

Dans ce livre, la narratrice raconte à la Mère son propre voyage vers l'acceptation, le pardon, l'amour et, en fin de compte, la liberté. Elle écrit une lettre à toutes les figures maternelles du monde, qui s'adresse d'abord à soi-même.

Des mots universels, écrits par un enfant adulte à cette existence - ou absence - si importante de la vie. De Paris à Vienne, de Londres à Athènes, le lecteur est invité à renouer avec son propre rapport à hier, à demain et au présent.

Ce livre n'a pas pour but de nous enseigner une voie particulière, mais plutôt d'inviter chaque enfant d'une mère à commencer ou à poursuivre courageusement son propre chemin vers le « Maintenant, je suis moi ». Trois mots qui ont tant de pouvoir et qui nous ouvrent à la liberté de l'ici et du maintenant.

Chacun de nous a son propre art pour atteindre ces mots et le livre Mon art d'être moi nous met au défi de le rechercher et d'y puiser.

Car nous méritons la vérité !

« Je veux te parler, maman »

27 femmes unissent leurs voix et parlent à la Mère, mais d'abord à elles-mêmes ! Le texte récité est un extrait du livre Mon art d'être moi-même.

INTERVIEW (gr)

Elsa Poimenidou et Haris Arvanitidis m'ont accueillie dans l'émission Jour en couleur de la chaine de télévision publique grecque ERT3, où nous avons parlé de la Bibliothérapie et du livre Mon art d'être moi-même.

Mmmm... Ça sent les pages d'un beau livre !

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J'ai lu le livre de Stefania sans reprendre mon souffle. Il m'a inspirée et je me suis identifiée à lui. Il m'a émue, il m'a fait voyager, il m'a ramenée à mon enfance et à mon expérience de mère. Il m'a donné envie de prendre une tente et de camper dans un musée. De prendre des crayons de m'asseoir par terre et de commencer à dessiner avec ma fille. Il m'a fait réfléchir, aspirer et finalement espérer. Mon art d'être moi-même m'a fait pleurer et crier pour que les musées restent toujours ouverts, parce que l'art est le moyen de dire « j'espère ».

- ΙOANNA SERAFEIMIDOU

À certains moments, j'ai reconnu les « erreurs » de ma propre mère et j'ai eu l'impression que c'était moi qui parlais et non la narratrice. Cependant, lorsque j'ai reconnu ma propre personne dans ces « erreurs », j'ai ressenti de la « culpabilité » pour chaque moment où, enfant, j'ai blâmé ma mère. Bien sûr, ce processus est normal.

La première fois que je l'ai lu, toutes les émotions étaient très fortes (et j'admets que j'étais en train de délirer lorsque je l'ai lu). Mais tout a changé lorsque je l'ai relu. Les sentiments se sont adoucis, d'abord parce que je savais à quoi m'attendre en lisant le texte et ensuite parce que le rôle des photos complétait parfaitement l'émotion et l'adoucissait à mesure que l'œil et l'attention se portaient sur la photo.

- ΕVDOKIA STERGIOPOULOU

Ce livre est une lettre à la Mère, un album de photographies de visiteurs de musées d'art en Europe, un poème en prose, mais avant tout un texte qui vous touche en plein cœur, parce que c'est de là qu'il vient. Son thème, si je pouvais le condenser en une seule ligne, serait la description du voyage vers l'acceptation de la mère et ses merveilleux chemins menant à la reconnaissance de soi, avec l'art comme véhicule. J'ai particulièrement apprécié que l'autrice ne fournisse pas un manuel de connaissance de soi, mais qu'à travers son propre parcours, elle encourage le lecteur à s'engager sur la voie de ses propres quêtes.

Un de ces livres qui vous font un clin d'œil et dont vous savez dès la première lecture qu'il s'agit d'un endroit où vous reviendrez.

- ΜΑRINA VASILEIADOU

J'ai beaucoup aimé. Écriture très directe et révélatrice...

Je me suis identifiée en le lisant, il m'a profondément touchée et émue...

Je vous remercie !

- ΜΑRIA KECHAYOGLOU